29 avril 2008
J'y ai cru. Il me parlait et ma poitrine
J'y ai cru. Il me parlait et ma poitrine s'écarquillait parce que c'était possible, parce qu'il m'ouvrait une voie à laquelle je n'avais pas pensé. Il augmentait mes chances, il rendait mon avenir peut-être un peu plus sûr.
Et quand je suis rentrée pour imprimer mes dossiers, j'ai lu "session d'envoi close". Je me suis sentie tellement conne, tellement. conne. L'exaltation est retombée aussi vite qu'elle était montée et je me suis retrouvée dépossédée, la fatigue lourde et éreintante piquée dans le creux du coude.
Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer.
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